Le profil psychologique du sniper décapiteur
Nous nous rencontrons dans le Burger de Staunton Island, mon interlocuteur à l'air assez près à me faire des révélation, j'en profite :
Liberty Tree : Tout d'abord bonjour Agent Ytrebil, vous êtes profiler pour le FBI depuis maintenant 21 ans, j'imagine que vous avez du en voir beaucoup des meurtres affreux ?
Agent Ytrebil : Oui, effectivement, c'est vrai que dans une carrière au FBI, on voit vraiment de tout, mais surtout de l'horreur lorsque l'on est profiler, donc spécialiste des crimes en série.
LT : Alors vous venez d'être envoyé par Washington pour dénouer cette affaire assez épineuse de meurtre, c'est bien parce que vous êtes le meilleur du FBI ?
A.Y. : Oh non, pas du tout, bien au contraire, il parait que je suis le plus dépravé des profilers de Washington, c'est pour cela qu'on m'a envoyé à Liberty-City, car on veut me montrer le summum de la dépravation.
LT : Heu, oui, passons, donc vos impressions sur l'affaire ?
A.Y. : Et bien il me semble que c'est un cas assez simple, en effet, tout ces femmes ont été tuée de la même façon, et faisaient parties de la même classe sociale.
LT : Et donc, qu'en déduisez vous ?
A.Y. : Et bien que nous avons affaire à un tueur en série.
LT : Ah oui... très bien, mais plus précisément ?
A.Y. : Et bien pour être précis, je dirais que nous avons affaire à un individu de sexe mâle, blanc ou peut-être noir, de taille moyenne, de corpulence moyenne, avec un visage assez peu différentiable.
LT : En fait vous me dites que c'est monsieur tout-le-monde.
A.Y. : Voilà, c'est exactement ça.
LT : Vous n'avez rien d'autre à nous dire qui pourrait intéresser les lecteurs du liberty tree ?
A.Y. : Si, on a trouvé des traces de sang sur le lieu de tir.
LT : Ah, mais c'est formidable, vous êtes sur une piste alors ?
A.Y. : En fait non, car il ne s'agit en fait que de sang de chat, à mon avis, le tueur aura été dérangé par un chat qui aura essayé de protéger son territoire, et le tueur, sans aucun remords aura frappé cette pauvre bête pour se débarrasser d'elle.
LT : Vous avez un témoin visuel alors...
A.Y. : Mais... c'est vrai, excusez moi, il faut que je retourne aux bureaux, il faut passer un avis de recherche.
Sur ces dernières paroles, l'agent Ytrebil s'en est allé comme il était venu.
En tout cas, ce qu'on peut en conclure, c'est qu'avec des policiers comme ceux-ci le tueur va pouvoir encore passer de longues journées dehors à tuer des jeunes prostitués innocentes.