Body Harvest
Hier, tôt dans la matinée, un homme a volé une moissonneuse batteuse et l’a utilisé pour réaliser un véritable carnage dans Las Venturas…
Tous les habitants de Las Venturas sont sous le choc. Jamais ils n’avaient assisté à pareil carnage. Un homme de 32 ans a détourné une moissonneuse batteuse, tabassant à mort le fermier, et s’est livré à une sortie atroce dans les rues de la plus belle ville de San Andreas. Semant la mort de tout ce qui passait dans le sillon de la machine, Joe Bert, un psychopathe connu des services de polices, à roulé pendant quatorze minutes avant de se faire arrêter pas les forces d’élites.
L’homme avait, 2 ans plus tôt, été interpellé pour le meurtre d’un paysan qu’il avait traîné pendant cinq heures, accroché à l’arrière d’un tracteur. Joe Bert fût relâché après six mois pour “bonne conduite”.
Le gouverneur n’a pas pu s’empêcher de commenter ce fait :
Il est honteux qu’un malade mental se promène librement dans la nature sans qu’un suivi policier et médical ne lui soit attribué !
Monsieur le gouverneur oublie peut-être, que c’est lui-même qui en début d’année à baissé les effectifs volontairement pour faire des économies sur le budget de l’état.
A l’heure du bilan, nous comptabilisons pour l’instant une cinquantaine de morts. L’identification des victimes, vous l’imaginez, est très difficile. Une cellule de crise à été mis en place pour les familles des victimes mais aussi pour les témoins de ce drame.
Madame Clinton nous explique péniblement :
J’ai vu la moissonneuse arriver sur moi… et… j’ai couru vite et derrière moi j’entendais des cris… affreux. Je me suis retournée et je voyais… des morceaux de corps gicler…
La dessus Madame Clinton s’effondre en larmes.
Mais ce qu’on retiendra de plus terrible dans l’histoire c’est que le vol de l’engin et la mort du fermier ont été déclarés deux jours plus tôt, par le frère de la victime, au shérif local. Personne n’a cherché à retrouver l’auteur du crime et la moissonneuse batteuse. Joe Bert l’avait “discrètement” caché dans un hangar de Blackfield.
En conclusion, les services de l’ordre sont à mettre en cause dans ce sinistre pour leur inutilité, leur négligence et leur désintéressement profond.
Nous vous tiendrons au courant du bilan final.