Un dernier pour la route
Le “tueur de journalistes” qui sévissait depuis plusieurs mois a enfin été identifié… Après son suicide. Et la surprise est de taille…
“Je suis revenu d’entre les morts pour me venger, aujourd’hui je peux y retourner en paix, avec le sentiment du devoir accompli.” Tels sont les derniers mots de la lettre laissée par Satyr, l’un de nos journalistes, près de son corps pendu dans le salon de son domicile de Los Santos.
Dans cette lettre, il a également confessé les meurtres de LibertyG100, Panpan6903, Passe-Partout, Sapher et enfin Flrenckins. En ce qui concerne les meurtres de JustShotOne et AleCendre, l’intéressé avoue : “je n’ai rien à voir avec ces deux meurtres, ce qui m’a bien fait chier car je voulais m’en charger moi-même.”
Sur place, la police a retrouvé des coupures de presse concernant les meurtres qu’il a commis, mais aussi des preuves de surveillance de ses collègues, avec notamment les emplois du temps de Dydou, DrEmixam, Ezoah ou encore NelsoN, au sujet duquel il écrit, dans sa lettre :
Je suis désolé d’avoir cru que tu étais responsable de ma première mort, mais je voulais te buter quand même, parce que tu manges toujours le dernier donut au bureau.
Au siège du Liberty Tree, on a accueilli la nouvelle avec tristesse - c’était quand même un de nos collègues - mais aussi soulagement, du fait de savoir que la série noire était enfin terminée.
DrEmixam : Encore un journaliste de talent en moins… On va devoir recruter pour assurer derrière. Ne vous en faites pas, vous ne vous ferez pas tuer.
Ezoah : Je ne l’ai pas trop connu, mais il m’avait paru sympa au premier abord… De toute façon, c’est toujours le genre de gars qui est sympa et qui te tue lendemain.
Titi : Qui ça ?
Nevod : *Vous êtes actuellement sur le répondeur de Nevod. Veuillez laisser un message après le bip. Bip.
Satyr avait “survécu” à une tentative de meurtre, le 1er juin 2006. Arrêté pour trafic de stupéfiants, il avait passé un marché avec la police : il avait balancé tous ceux qu’il connaissait et avait été relogé à Vice City. Le cadavre était en fait celui d’un simple petit gangster de rue.
Satyr était ensuite revenu en 2013 au journal, pour lequel il n’a écrit qu’un article, sur un attentat manqué à Los Santos. Ensuite, plus rien. Occupé à commettre ces crimes sordides, pour une raison que l’on ignore encore. Dans sa lettre, encore une fois, il juge le Liberty Tree responsable de ses déboires. Il y a également décrit le modus operandi de ses crimes, en donnant de nombreux détails.
La police de Los Santos a donc déclaré Satyr coupable de cinq homicides volontaires et prémédités, et son cadavre a été condamné à purger une peine de 150 ans à la prison de Bolingbroke.