Luigi jugé
Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.
Luigi Goterelli, le propriétaire du Sex Club 7 possédant une triste notoriété, a plaidé « non coupable » à son procès alors qu’il été accusé de diriger des locaux dans des buts immoraux.
Son avocat a dit:
Mon client travaille dans le divertissement. Il n’est pas un proxénète. Il travaille dans le divertissement pour adultes. Et oui, c’est un peu osé et oui, les femmes enlèvent leurs vêtements, mais cette place n’est pas un bordel ! N’avez-vous jamais été à un bordel ? Ils ne ressemblent pas au Sex Club Seven de M. Goterelli ! Mais alors pas du tout, je peux vous le dire. Pour sûr, il vend du sexe, mais rien n’arrive et les filles sont toutes des professionnelles, des danseuses, rien d’autre. Regardez, je suis un homme marié !