Purge de paparazzi
Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.
C’est bien connu, la police abuse de ses droits, mais hier soir j’en ai eu la confirmation alors que je préparais un article sur les Yakuza.
J’avais décidé d’écrire cet article dans le but de montrer les tensions qui se sont créées ces derniers temps entre le gang des Yakuza et celui de la Mafia, je m’étais donc rendu en hors bord (merci la rédaction) entre l’île de Stauton et l’île de Portland pour avoir la meilleure vue possible de ce qui pouvait bien se passer dans le condo des Yakuza.
Vers 22h30, alors que j’attendais déjà depuis plus de 2 heures, un hors bord de la Police a surgit derrière moi et a commencé à me tirer dessus, sans menace ni sommation…
Il a bien fallu que je m’éloigne le plus vite possible, et en oubliant totalement ce que j’étais venu faire ici, je me suis dirigé vers Portland en espérant qu’il ne puisse pas me rattraper…ce qu’il a fait à peine 5 minutes plus tard alors qu’on approchait de la villa de Salvatore Leone.
J’ai décidé de profiter de la plage de sable pour sortir du bateau (j’ai horreur de l’eau, j’ai vu bien trop de gens se noyer dans 20cm d’eau), et à peine avais-je touché le sable que mon bateau était déjà en feu: il avait tiré dessus jusqu’à le faire exploser, le sauvage!
Ensuite, il m’a longuement regardé, droit dans les yeux, avec un sourire sadique aux lèvres, l’air de dire: « Que j’te revois plus traîner dans mon quartier! », puis il est parti.