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Prise d'otage au Liberty Tree

Zico

Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.

Hier les journalistes du Liberty Tree ont eu peur, même très peur. C’est vers 13H45 qu’un homme à l’allure normale est entré dans les bureaux du journal. Des son entrée il a sorti un M-16 et une kalachnikov, il a tiré sur notre tout nouveau matériel. En une seconde tous le monde s’est retrouvé à terre. La standardiste, Antoinette Decockbord a essayé d’appeler la police de Liberty City mais le preneur d’otage du nom de Mister Spock lui a disséqué la figure (en terme plus juste : lui a bousillé la gueule).

Les personnes de l’immeuble d’en face ont entendu des coups de feu et ont tout de suite appelé la LCPD. Ces derniers ont fait appel aux grands moyens : Swat team, hélicoptère, FBI, CIA, armée … la totale. Mr Spock a tout de suite instauré son autorité :

Si vous faites un geste je me gênerais pas à tuer un journaliste .

Apres deux heures et demi de négociation le preneur d’otage a demandé une Perenial noir pour son grand père, une barque pour sa femme et une Cheetah pour lui et un billet pour la Moldavie. Notre journaliste moldavian_power s’est directement senti visé, il s’est levé et s’est dirigé vers Mr Spock et lui a sauté a la figure. Mais le preneur d’otage a sorti son fusil à pompe et a dégommé le bras de notre cher journaliste moldave.

Soudain apercevant une femme qui se déshabillait dans l’immeuble d’en face, Mr Spock s’assit sur une chaise et commença a se toucher. Little Worm en profita pour prendre une imprimante et assommer le preneur d’otage avec.

Les autres journalistes se levèrent alors et jetèrent le corps du malfrat par la vitre, n’ayant pas remarqué que ce dernier était tartiné de bloc de C-4. Ils ne se doutèrent pas que lorsque le corps s’écraserait par terre il créerait une explosion énorme entraînant 360 morts dont 140 policiers et 220 civils.

Le maire, en deuil après ce drame décida de remettre aux journalistes la médaille d’honneur pour leur courage et leur bravoure. Il n’a pas voulu se prononcer sur cette tragédie.