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Les crimes rebondissent à cause du mystérieux "facemaker"

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Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.

Le Facemaker est un masque qu’on peut modeler et créer. On peut alors ainsi changer d’apparence au visage, il suffit alors de trouver les habits correspondants pour ne plus être reconnaissable. L’idée a été sans doute prise dans les films de mission : impossible.

Un jeune adepte du déguisement (qui s’est depuis fait choper par la police alors qu’il avait enlevé son masque avant même d’être à sa planque) nous a expliqué que la “base” du masque, qui est composé de la forme de la tête et des trous pour les yeux et le nez peut être acheté entre 500 $ et 750 $ au marché noir.

Le problème pour les policiers c’est que les principaux témoins des crimes et délits (les passants, les policiers ou même les pompiers) ne peuvent plus en identifier les auteurs qui demeurent ainsi impunis.

Les mesures qui vont être prises par la police et le FBI contre cette “arme” vont être simples : plus de policiers sur les trois îles, un tiers d’effectif en plus nous a-t-on dit.

Il est bien clair que si le bandit s’échappe c’est foutu, si on ne peut pas le prendre en flagrant délit, on le reverra jamais.

Nous avons acheté un facemaker et nous l’avons étudié, il n’est pas très lourd mais on étouffe carrément quand on le met, de plus ça chauffe vite sous ce “masque”.

Sur le marché nous avons déjà vus des fanatiques qui parfumaient leurs masques. “Comme ça on vous dira pas qu’vous puez”, nous a affirmé le punk qui nous a vendu la marchandise.

Le réseau qui fournit ces facemakers est caché, le FBI mène l’enquête pour trouver d’où ils viennent. Nous vous informerons dès que nous aurons du neuf.

(ndlr: la photo représente le masque par défaut qui est en vente sur le marché, si vous voyez un homme lui ressemblant, évitez le c’est sans doute un hors-la-loi)