Pay'n'Spray: La chronique d'un succès
Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.
Pay’n’Spray ou les ateliers de peinture de Liberty étaient en faillite il y a encore deux ans. Depuis tout a changé: les clients affluent et les bénefs montent en flèche. Quelles sont les raisons d’un tel succès?
C’est par une froide matinée de ce début du mois que je me suis rendu à l’atelier de Portland, pour y rencontrer Vlade Bovalic, l’actuel patron de Pay’n’Spray. Nous avons commencé par une séance photo.
Il y a deux ans les ateliers “Liberty Paint” étaient en faillite, et c’est à ce moment-là que M. Bovalic, un immigré Croate, diplômé de commerce, les a racheté et les a renommé Pay’n’Spray car il avait réussi à mettre au point un procédé permettant de repeindre n’importe quelle voiture en moins de 20 secondes.
Il faut dire que le succès a été immédiat, malheureusement nous sommes à Liberty City et ce succès s’est fait grâce à la pègre et la racaille qui peuple les rues de notre ville. En effet les malfrats viennent repeindre leurs véhicules pour semer la LCPD et ils payent cash, ce qui a valu à M.Bovalic d’être impliqué dans de sombres affaires de blanchiment d’argent.
Cependant un vice de procédure lui a permis de se sortir de cette mauvaise passe (il faut bien se mettre dans l’esprit qu’il séjournait à Liberty en tant que réfugié politique). Voici sa photo.
Mais ce n’est pas le procédé magique de peinture qui a fait entièrement son succès, car on peut ajouter deux mots: réparation et tuning.
Ainsi, chaque voiture emmenée dans leur garage peut être révisée et si besoin, réparée. Pay’N’Spray s’est aussi spécialisé dans la personnalisation d’autos au niveau mécanique (pots sport, gestion électronique) et esthétique (spoilers, body kits, intérieurs, etc…).
Lors du reportage deux véhicules étaient exposées: une Kuruma noire métal avec options et une Sentinelle commandée spécialement par Joey Leone, lui-même garagiste. Elles ont de l’allure n’est ce pas?
Je me suis moi-même laissé convaincre et j’attends avec impatience une Cheetah cabriolet avec jantes chromées.