/ LAS-VENTURAS

Quand "patrouille" rime avec "arsouille"

Bancale

Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.

Il n’est que 8 heures ce matin lorsque M. Dick Sander, habitant de Las Venturas, prend son petit déjeuner. Soudain, il entend une sirène de police qui semble se rapprocher à grande vitesse. Quelques secondes plus tard, un énorme choc. Il se précipite donc hors de chez lui et a alors la mauvaise surprise de trouver une voiture écrasée sur la devanture de sa maison.

Après une rapide enquête, il s’avère que le conducteur était un policier d’une cinquantaine d’années et ayant plusieurs antécédents d’alcoolisme durant son service. Le policier s’en sort indemne mais pas sa plaque puisque la prise de sang révèle un taux d’alcoolémie d’1,2 gramme d’alcool par litre de sang. Un taux légèrement supérieur à celui autorisé durant le service, qui lui est d’un gramme seulement.

Nous pouvons ainsi nous demander : mais que fait la police ?