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Un affreux braquage affecte tout San Andreas !

Pliskin

Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.

C’est hier matin que Sergio Domingez, vendeur de hot-dog à Downtown, est décédé lors du braquage de son stand. Tout San Fierro ressent les conséquences de ce simple hold-up !

Il est 11h28 à San Fierro. Alors que tout Downtown s’apprête à déjeuner, un homme d’origine mexicaine portant des lunettes de soleil et un bandeau turquoise est à deux doigts de bouleverser inconsciemment le mode de vie de San Andreas.

L’homme âgé d’une vingtaine d’années se dirige vers la camionnette de Sergio Domingez pour, à priori acheter un hot-dog. Mais lorsqu’il arrive au stand, il sort son revolver et braque Sergio en demandant la caisse. La victime, habitué à ce genre d’événements, sort son fusil mitrailleur mais cette fois-ci, tout ne s’est pas passé comme prévu.

Le tueur, prit de panique, saisit Luo Chiang, un passant.

Voici son témoignage :

Liberty Tree : Que c’est-il réellement passé au moment du braquage ?

Luo : Je sentais qu’il y avait un truc louche avec ce type alors je l’ai laissé passé devant moi au comptoir pour ne pas avoir d’histoires. En l’espace de quelques secondes ils ont tous les deux sortit leur arme ! J’étais très choqué et je n’osais pas bouger, je n’assiste pas à un braquage tous les jours vous comprenez ! L’homme en a profité pour me prendre par le cou d’une main et avec l’autre il tenait son arme !

Liberty Tree : Comment à réagit Sergio par la suite ?

Luo : Il était tout aussi paniqué que moi et le tueur ! Mais ce dernier étant jeune, Sergio à cru qu’il bluffait alors à voulut tirer. J’ai bien cru y rester mais j’ai juste entendu une sorte de « clic ». L’arme du vendeur n’a pas tiré alors le braqueur n’a pas hésité ! Il m’a ensuite jeté à terre puis pris l’argent de la caisse. J’étais sonné mais je me suis enfui. Je ne voulais pas assister à la suite du braquage.

Les témoins de la scène ont pendant ce temps appelé la police qui tarde à venir. Puis entendant les sirènes, le tueur vole une voiture et s’enfuit en écrasant Sarah Alan, un autre passant qui est également la deuxième victime.

Commence alors une infernale course-poursuite avec la police qui s’achèvera à l’Easter Bay Airport.

La voiture du braqueur tombe dans la mer alors que celles de la police s’écrasent les unes après les autres contre les piétons et les terminaux de l’aéroport. Faisant de très nombreux morts et bloquant les activités de l’aéroport !

Le drame social fait alors place à un crash économique. En effet, Sergio Domingez était l’un des vendeurs de hot-dog les plus réputés à San Fierro et nourrissait principalement les hommes d’affaires lors de la pause du midi. Or cette fois, leur vendeur n’était pas là et n’ayant qu’une demi-heure pour manger, la plupart des employés n’ont pas pus manger, tous les restaurants étant complets. Trop affamés pour pouvoir travailler efficacement, un crash boursier et un bouleversement de toutes les activités de San Fierro sont survenus au courant de l’après-midi. Engendrant du coup, des répercutions sur le marché de Las Venturas et de Los Santos.

Le début de l’enquête nous dit que l’arme de Sergio c’est enraillée à cause d’un défaut de fabrication. Clara Domingez, la femme de Sergio Domingez, compte porter plainte contre la société Ammu-Nation ce qui risque d’empêcher ces magasins d’arme de continuer leurs activités ! Les familles des victimes de la course-poursuite, suivis d’une grande partie de la population, veulent également porter plainte contre l’efficacité de la police.

John Cliff, responsable de la police de San Andreas, a donné une conférence de presse tôt ce matin. Liberty Tree était présent :

Liberty Tree : Pensez-vous que la police de San Fierro aurait pu être plus efficace lors de cet incident ?

John Cliff : Hé bien vous savez, la police n’est pas parfaite et ne s’attendait réellement pas à un braquage ce matin là ! Maintenant il faut voir si effectivement les agents de police auraient pus rouler plus vite et rattraper le braqueur. Vous savez, San Fierro est une grande ville et zigzaguer entre les voitures n’est pas facile ! Ce n’est pas comme dans un film, la vie de deux policiers par voiture est en jeu. Ceci est très stressant. Ajoutez à cela l’alcool et la fatigue. Il ne faut pas s’étonner si la police n’est pas au sommet de sa forme…

Liberty Tree : Quel est votre avis sur les nombreux piétons morts suite aux pertes de contrôle des voitures de la SFPD ? (San Fierro Police Departement)

John Cliff : Lorsqu’on vit dans une grande ville, il faut s’attendre à ce genre de choses ! Je suis navré pour ces quelques morts mais comme je l’ai déjà dit, la police a ses défauts ! C’est le genre de dommages collatéraux qui arrivent régulièrement…

Liberty Tree : Et qu’auriez vous à dire aux gens qui portent plaintes contre l’efficacité de la police ?

John Cliff : Ce sont sans doutes des faibles d’esprit ! La police est déjà courageuse de faire ce travail et maintenant on porte plainte. S’ils ne sont pas content ils n’ont qu’a aller à l’armurerie la plus proche et finir le travail eux-mêmes ! C’est scandaleux ! C’est d’ailleurs contre ce genre d’actes qu’il devrait y avoir des plaintes ! La population ne se rend pas compte comme la tâche est dure. Ça me révolte !

Ces paroles nous obligent à interrompre la séance qui se poursuivra demain à 16 heures 30 à la Mairie de Fierro…

Une chose reste à découvrir, Qui est ce qui a causé ce désastre ? En effet, les fouilles, qui ont commencé depuis ce matin, n’ont trouvées personne dans la voiture du braqueur.

Affaire à suivre…