Le directeur de Weazel News soupçonné de harcèlement
Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.
La nouvelle vient de nous parvenir et pour une fois, ce n’est pas notre confrère qui va en faire ses gros titres. Le directeur de Weazel News a été mis en garde en vue par la police après une plainte pour harcèlement moral et sexuel.
Depuis plus de 3 heures maintenant, le PDG de la chaîne d’information Weazel News, G. Barrey Thompson a été mis en garde à vue, accusé de harcèlement moral et sexuel sur une employée. D’après le psychologue de la victime, elle subirait des séquelles psychologiques.
Le centre des affaires de Liberty City
Pour ne pas porter atteinte à la vie privée de la plaignante, nous l’appellerons Mme N. qui nous accordé une brève interview :
Liberty Tree : Mme N. pouvez-vous nous dire exactement ce que G.B. Thompson vous a fait ?
Mme N : Vous savez c’est très difficile à dire et je préfère ne pas y répondre…
Liberty Tree : Nous comprenons, avez-vous un message à faire passer à votre patron ?
Mme N : Oui, j’espère que vous allez tout perdre Thompson, tout ! Je souhaite que vous finissiez derrière les barreaux et que vous y mourriez !
Liberty Tree : Au moins votre message est très clair… Merci de nous avoir accordé ces quelques secondes.
Les bureau de Weazel News au premier plan
Bien entendu l’accusé nie les faits en bloc et campe sur ses positions, il est défendu par l’un des avocats les plus prestigieux du pays. D’après les archives censés être confidentielles -obtenues grâce des tiers-, de la police on apprend que le PDG aurait déjà été mis en examen pour tentative de viol et séquestration. Voici ce qu’il a déclaré : «Tout le monde sait que je suis plein aux as et dès qu’une personne le peut, elle va tenter de me faire accuser pour un crime que je n’ai pas commis, j’ai fais des erreurs dans le passé, je le reconnais, et maintenant on se sert de ça pour me faire plonger ! C’est une honte et je ne devrais pas être l’accusé dans cette histoire… ».
La police mène l’enquête pour vérifier la véracité des dires de la victime si elle l’est réellement, elle demande donc à toute personne ayant pu voir ou soupçonner les faits de se manifester le plus vite possible. De notre côté nous avons également mené notre petite affaire et selon les employés qui côtoient les deux personnes, aucun d’entre eux n’auraient jamais rien vu de tel et le patron serait une personne honnête et droite avec ses salariés.
Toujours dans le cadre de la “victime”, son psychologue lui aurait assigné une thérapie de réinsertion car elle aurait subit des troubles suite au harcèlement. C’est donc la parole du PDG contre celle de son employée. Affaire à suivre…