Coup de théâtre sur les Docks !
Cet article a été écrit dans un contexte spécifique et peut refléter des sensibilités ou des approches qui peuvent ne plus correspondre à celles de son auteur aujourd'hui. Avec le recul, certaines choses ne seraient plus écrites de la même manière aujourd'hui. Ces archives restent néanmoins une trace précieuse d'une époque où créativité et passion guidaient chaque ligne. Merci de le lire avec recul.
Les Docks, Los Santos, 24/11/2006, 15:00 :
Le LSPD et le FBI a finalement mis la main sur un trafic d’esclaves en provenance de Chine. Des travailleurs forcés, notamment utilisés dans la fabrication de stupéfiants ou les passes vers les différentes villes.
Les derniers contrôles effectués par le LSPD en collaboration avec le SFPD et le LVPD, ont été fructueux et ont donc permis de mettre à bas ce trafic incessant d’immigrés asiatiques à San Andreas.
Le gros point noir de l’histoire est que l’Etat de San Andreas se retrouve avec une micro-population asiatique sans papiers sur le dos. Pour la plupart, des cartes de travail ont été falsifiées par des membres de la Triade. « Le parrain » de la mafia japonaise, Mitsuayo Kanazaki, n’a pas hésité à proclamer l’innocence de la communauté japonaise de San Andreas.
La communauté japonaise de San Andreas décline toute accusation concernant cette triste affaire de trafic d’esclaves. Nous sommes des hommes, non pas des monstres, et nous ne laisserons pas se répéter de pareilles immondices.
Les immigrés étaient transportés dans des camions poubelles. Ils étaient arrivés dans les containers (photo 3) plus tôt dans la matinée.
Les mots sont clairs, selon Kanazaki, la Triade n’a rien à voir avec cette affaire. Cependant, ce ne sont pas les dires de l’officier Berton Johnson du LSPD.
Nos enquêteurs ont travaillés des mois sur cette affaire. De multiples interventions ont été menées à travers tout l’Etat, et à plusieurs reprises nous avons arrêté Shinizami Kanazaki, le junior de la Triade. Nous n’avons cependant pas pu pousser l’affaire plus loin à ce moment la, mais aujourd’hui et avec ce coup de filet, nous avons la certitude par des preuves matérielles que la Triade est impliquée dans ce trafic.
Il est clair que le trafic d’esclave reste un point ambigu à San Andreas, autant pour les autorités que pour les principaux concernés. On se « jette la patate chaude »
Après les affrontement entre la Triade et les forces de l’ordre, nous retrouvons des carcasses calcinées. Sur la droite, les entrepôts qui servaient de lieu de transition entre le bateau et les camion poubelles.
Autrement dit, personne ne veut endosser la responsabilité du futur de la micro-population désormais présente à San Andreas.
Un contact à la mairie nous a indiqué que des fonds serais débloqués pour permettre aux travailleurs de rentrer dans leur pays, ou dans le cas où il voudrait résider aux Etats-Unis de leur attribuer un permis de séjour renouvelable si leurs conditions sont améliorées.
Cette situation pose un second problème : nous connaissons tous la situation à Los Santos, les différentes minorités ethniques présente dans notre ville (Afro-américaine et Latino-américaine) mette le haut-là sur la situation des travailleurs.
A maintes reprises, des membres de nos familles à l’étranger ont voulu émigrer vers les USA. Cependant, l’Etat leur a refusé le permis de séjour attribuable en prétextant que les conditions sanitaires dans lesquelles vivaient nos famille ne leur permettaient pas de séjourner aux USA.
En fermant une page sur le trafic d’esclaves, nous en ouvrons une autre sur un problème diplomatique et social.