le Liberty Tree fête les 1 an de sa réouverture

Il y a un an, le Liberty Tree renaissait de ses cendres dans des bureaux tous neufs dans le quartier de Downtown. Jusqu'à aujourd'hui, le Liberty Tree peut se vanter d'avoir toujours évolué pour la plus grande satisfaction de ses lecteurs.

Il est des moments heureux dans la vie d'un journal : aujourd'hui, le Liberty Tree souffle sa première bougie et pour fêter cela, nous avons décidé de vous révéler les grands moments du journal. Mais avant, nous avons demandé à notre patron et à un ancien du LT, leur pensée sur cet anniversaire :

Maxou : Pour moi, tout est clair. Après avoir effectué un bilan comptable de l'année, je peux désormais affirmer que nous pourrons peut-être augmenter tous les journalistes d'ici cinq ans. Le pourcentage d'augmentation ? J'y réfléchirais quand j'aurais assez pour vous augmenter.

NelsoN : Le LT, j'en fait partie depuis 2003. Avant, on était à Liberty. C'tait l'bon temps, tu vois ? Sans ce Liberty Tree, un tas de choses n'auraient jamais existé, Pavlov peut confirmer. Le LT a eu un gros impact sur notre vie privé en fait. Un gros bravo à Maxou pour l'avoir fait revivre y'a un an, c'est que du bonheur.

Pour commencer, revenons un peu en arrière, c'est-à-dire le 20 août 2005 où commence la parution du journal. Quelques jours avant, Maxou avait acheté un étage d'une tour dans le DownTown de Los Santos pour y installer des bureaux tous neufs. A ce moment-là, les journalistes sans emploi dont Pavlov et NelsoN peuvent enfin travailler dans un journal neuf. Tellement de journalistes demandent un travail, ne serait-ce que servir le café, que Maxou sera obligé d'acheter un local plus grand. Grâce aux subventions versées par l'Etat, c'est chose faite et l'équipe déménage dans la Liberty Tower pour non pas un étage mais trois, qui selon notre rédacteur-en-chef "pourront faciliter la hiérarchie" Ainsi, les journalistes sont au 23ème étage, les gradés (responsable à la correction, administrateurs des forums, comptabilité, assistance à la direction) sont logés au 24ème, et le 25ème étage sera réservé au rédacteur-en-chef.

La première tour qui logait la petite équipe et la Liberty Tower.

Les mois passent, les journalistes vont et viennent, disparaissent et réapparaissent. Nous sommes aux alentours d'avril-mai : il va se passer à cette période ce que nous pourrions appeler la Grande Guerre du Courrier, épisode important de la seconde moitié de la première année du Liberty Tree. Imaginez des courriers (anonymes ou signés) insultant, menaçant joyeusement certains membres de l'équipe ou bien postant des lettres inutiles qui passeront au feu. Heureusement, la police de Los Santos avait pu rapidement trouver les cinq mystérieux posteurs fous afin de les coffrer dont certains présenteront leurs excuses depuis leur cellules en mai. (les durs ici)

Pendant tout ce mois, le Liberty Tree va connaître ses heures les plus affreuses en plus de cette guerre du courrier : l'affaire Biorn, reporter de l'extrême n'ayant jamais fait d'articles tellement ils étaient mauvais mais aussi parce qu'il lui manquait des neurones. Ce gai personnage était devenu la tête de turc de toute l'équipe mais un jour, un lecteur lui fait part de compliments insultant. Biorn craque et va poster lui-même des lettres destinées au Liberty Tree. Maxou ne supportera pas longtemps et le fera sortir par la petite porte. Les jours redeviennent plus calmes, quand cet ancien reporter doté d'un super cerveau vient à faire ses excuses et soit réintégré dans l'équipe. Plus tard, nous comprendrons que ce fût une erreur d'avoir accepté la bête ! Maxou préparait ainsi les papiers de démission et Biorn, pendant ce temps-là, se faisait plomber par un inconnu qui sévissait à Vice City. Biorn avait fini sa course et le LT ne versait aucune larme.

Biorn avait été retrouvé dans sa voiture, noyée dans le canal à Los Santos.

Passons au mois de juin. L'été est proche, on commence à poser ses vacances à la direction du Liberty Tree mais c'est aussi le mois d'un épisode, celui de la Guerre Interne, des licenciements sauvages et autres démissions saugrenues. Maxou avait repéré le talent de certains reporters et leur avait conféré certains pouvoirs, mais la rivalité entre certaines personnes de l'équipe allait allumer la bombe à retardement. Ainsi, c'est un correcteur du nom de Mr. R qui s'introduira dans le bureau de NelsoN en brûlant gaiement ses brouillons d'articles. Les brouilles commencèrent et Maxou craque :

BON COUP DE GUEULE ! RAS LE BOL DES CONFLITS ! Les responsables ne pensent qu'à se tirer dans les pattes ! C'est un vrai champ de batailles ici et j'en ai ras le bol ! DONC : plus aucun responsable en dehors de moi. Je pensais pouvoir faire confiance à tout le monde pour que tout se passe dans une bonne ambiance mais visiblement, je m'étais trompé... J'espère que vous n'allez pas régler vos comptes entres vous mais plutôt que chacun se remettra en question ! Je ne sais pas encore si je remettrais des postes de responsables à certains d'entre vous mais il va falloir les mériter !

Ce n'est que quelques jours plus tard qu'une grande restructuration des postes était annoncée pour éviter d'éventuelles jalousies.

Le fameux traité de paix proposé par Special-K.

Le courrier s'accumulait dans le bureau de Special-K qui devait être chargé d'amener toutes les réponses à l'US Mail mais le brave homme était en reportage dans la rue en face de la Liberty Tower et ne pouvait donc rien faire. Quand il arriva dans les bureaux, il s'expliqua mais cela n'aura pas suffit. Les bureaux volaient dans les couloirs tous comme les armoires et les coups de classeurs, contenant bon nombre d'archives, allaient bon train. Après la bataille, nous avons pu constater que c'est la machine à café qui aura le plus souffert (tâches de sang et traces de cognage intensif). Les trois journalistes les plus excités démissionnèrent et revinrent après la signature d'un traité de paix. Beaucoup on pu entendre ma célèbre phrase que j'hurlais dans mes moments de délires : "LT torturé ! LT martyrisé ! Mais enfin, LT libéré !"

Aujourd'hui, la guerre interne est bien finie et Maxou fait le ménage dans les dossiers du personnel afin d'en faire disparaître quelques-uns, ceux qui ne travaillaient plus au journal. C'est comme ça que s'est terminé sa première année. Bien entendu, j'ai sûrement oublié des événements mais qu'importe puisque ceux-ci étaient les plus importants à retenir. Merci à tous ceux qui ont sorti de quoi acheter le Liberty Tree à leur kiosque et nous espérons vous satisfaire davantage dans l'avenir.